Couteau sujihiki 27cm japonais artisanal Masashi Yamamoto…

Description

Découvrez l’artisanat exceptionnel de Masashi Yamamoto

Ce magnifique sujihiki est le fruit du travail de Masashi Yamamoto, un forgeron talentueux ayant appris son métier au sein de sa famille. Passionné par l’art de la forge, il a ouvert son propre atelier en 2013 après une formation rigoureuse.

Chaque couteau qu’il crée est une œuvre unique, réputée pour la dureté remarquable de ses lames, obtenue par des traitements thermiques spécifiques et techniques. Malgré sa jeunesse, Masashi a déjà commencé à transmettre son savoir à deux apprentis ! Ce personnage fascinant a un style unique : il forge souvent en tongs tout en fumant une cigarette.

Un sujihiki de qualité supérieure

Ce couteau est l’équivalent japonais du trancheur, avec une longue lame qui facilite la découpe de tranches fines de viande, légumes ou poisson, qu’ils soient crus ou cuits. Attention cependant à ne pas l’utiliser pour des aliments durs comme des meules de fromage ou des os, afin d’éviter tout risque de casse.

À noter que les couteaux de Masashi Yamamoto se distinguent par une pointe plus fine que la moyenne, rendant la fin de la lame plus flexible pour une découpe agréable et précise. Toutefois, cette flexibilité a ses limites ; évitez de forcer trop fort lors de l’utilisation.

Votre couteau est doté d’une lame damassée, composée d’un noyau rigide entouré de multiples couches d’acier doux pour équilibrer et protéger le cœur, tout en apportant souplesse et durabilité.

Pour sa fabrication, ce sujihiki utilise de l’acier SLD, un produit de la célèbre sidérurgie Hitachi, qui présente d’innombrables avantages, notamment un taux de carbone impressionnant d’environ 1,6%. Ce niveau de carbone accroît la dureté, permettant à la lame d’atteindre 63 HRC sur l’échelle de Rockwell, ce qui témoigne de la robustesse de sa structure.

Avec environ 13% de chrome, l’acier SLD est également résistant à l’oxydation, bien qu’il ne soit pas totalement inoxydable à cause de sa teneur en carbone. Un entretien attentif est donc requis, similaire à celui des couteaux en carbone.

Cette combinaison d’aciers assure une micro-structure équilibrée, plus résistante à l’usure et aux micro-fissures potentiellement induites par l’utilisation.

Le noyau est enveloppé de couches d’acier plus doux, enrichi de nickel pour offrir à votre lame des motifs aléatoires élégants, dont les teintes varient selon les couches.

La finition miroir de la lame accentue son caractère raffiné, où se trouvent également de délicats kanjis, ajoutés à la main par Masashi Yamamoto.

En ce qui concerne le manche, il est fabriqué en bois de cognassier, une essence dense et durable, qui résiste à l’humidité et aux variations de température. Sa forme octogonale assure un confort d’utilisation pour tous les chefs, que vous soyez droitier ou gaucher.

Un élégant contraste est apporté par une mitre en ébène sombre, séparée du cognassier par un fin anneau de micarta blanc.

Les espaces entre la lame et le manche sont scellés par de la pâte à bois, rendant l’ensemble étanche et empêchant l’infiltration de petits morceaux alimentaires lors de la découpe.

Conseils d’entretien pour ce couteau au carbone

Gardez à l’esprit que, en raison de sa haute teneur en carbone, ce couteau japonais est sujet à l’oxydation. Évitez de le laisser tremper dans l’évier ou de l’introduire au lave-vaisselle.

Un nettoyage à la main avec une éponge et un savon doux est essentiel. Séchez immédiatement le couteau pour éviter toute humidité avant de le ranger dans un endroit sec.

La couleur de la lame peut évoluer avec le temps ; c’est naturel en raison des réactions du carbone avec l’humidité ambiante et l’acidité de certains aliments.

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